Pro D2 et Fukushima
"La première fois, c'était en 2005 : ça n'allait pas du tout, le club était au bord de la Pro D2. Finalement, on a réussi à se maintenir, je suis resté et je crois que c'était le bon choix (sourire). Ça correspond d'ailleurs à l'arrivée de Vern Cotter, avec beaucoup de changements. La 2e fois, c'était il y a 4 ou 5 ans. Je voyais la fin de carrière arriver, j'ai eu une belle proposition du Japon et je me disais qu'une expérience et une culture différentes pouvaient être intéressantes. Et puis la catastrophe de Fukushima (accident nucléaire) m'a refroidi ! Nouvelle culture et contrat en or, c'est bien...mais je ne voulais pas revenir avec beaucoup d'argent et une maladie !"
Voilà comment Aurélien Rougerie restera "Roro de l'ASM" pour toujours...








