Le parc a précisé sur les réseaux sociaux que ce nouveau-né "s'inscrit dans le programme européen d'élevage (l'EEP) qui permet de gérer la population captive de cette espèce menacée dans son milieu naturel." D'autres vautours du parc ont déjà été relâchés, notamment dans les Cévennes. Cela pourrait aussi être le cas pour le petit nouveau.
Il sera relâché ou il restera en captivité pour "contribuer à la pérennisation du réservoir génétique de cette espèce".