Il comparaissait le 30 mars pour "dénonciation calomnieuse et harcèlement moral" pour une affaire remontant à 2017. Selon La Montagne, le maire avait demandé directement au préfet de retirer l'agrément du chef de la police municipale de sa commune, sur la base d'informations que Marcel Aledo savait fausses.
Des informations qui provenaient d'un autre policier, âgé de 42 ans et lui aussi condamné dans ce dossier à 3.000 euros d'amende avec sursis notamment.
L'avocat du maire a plaidé la relaxe et a annoncé à l'issue de l'audience son intention de faire appel de la décision.