Une coulée de boue s'était alors répandue sur une vingtaine de kilomètres, détruisant des écosystèmes, notamment des zones de reproduction de poissons. Des associations de pêche et de défense de l'environnement avaient alors déposé plainte contre la société qui gère le barrage, Soprélec.
Il nie toute négligence
Les responsables ont été jugés ce mardi par le tribunal correctionnel de Clermont-Ferrand, pour rejet en eau douce de substances nuisibles aux poissons.
Le patron du barrage a avoué avoir constaté un défaut sur l'une des vanne de l'installation. Il a en revanche nié toute négligence, selon La Montagne.
Le parquet a requis 40.000 euros d'amende, le tribunal rendra sa décision le 29 novembre prochain.