Comme l'explique un communiqué publié ce jeudi, le but est de "faire connaître et crédibiliser un projet ferroviaire d'intérêt général : la relance d'une liaison voyageurs transversale Bordeaux – Lyon via Limoges, abandonnée depuis fin 2012 par la SNCF".
Offrir "une alternative à la voiture et l'avion"
Mais pour les deux nouveaux entrants au capital de Railcoop, d'autres raisons motivent leur choix. Selon eux, cette décision permet d'agir sur les enjeux de la mobilité (désengorgement, réduction des émissions de gaz à effet de serre...).
Elle permet aussi de contribuer "à un aménagement plus équilibré du territoire à travers le renouveau des liaisons ferroviaires transversales de moyenne et longue distance, abandonnées depuis plusieurs décennies par l'État et la SNCF".
Pour Sylvie Tomic, adjointe au maire déléguée au Tourisme responsable, le potentiel estimé de voyageurs sur cette ligne est de 690.000 personnes par an. "Cela permettrait donc aux Lyonnaises et aux Lyonnais, et aux habitants de l'ouest de la France, une alternative à la voiture et à l'avion", ajoute l'élue.
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