Malgré cette interdiction datant de juin 2022, et d'après Le Progrès, il aurait poursuivi son activité et engendré un chiffre d'affaires 2.5 fois supérieur à celui des meilleurs cabinets. Sur ladite période, il aurait réalisé pour 400 000 euros d'actes.
C'est la CPAM qui a détecté l'anomalie après avoir observé une surfacturation d'environ 30 000 euros.
Le procureur de la République est saisi et une enquête est ouverte. Déféré au parquet le dentiste est placé sous contrôle judiciaire avec une interdiction d'exercer.