Les militants se sont rendus sur place avec un troupeau de brebis pour barrer la route. Ils protestaient notamment contre la démolition de murets et des huttes sur le site.
La gendarmerie se rend sur place
Après négociations, un terrain d'entente a été trouvé avec les ouvriers, qui ont assuré selon Le Progrès que les murets seraient préserver lors des travaux, au moins jusqu'en 2024.
Durant la matinée, une dizaine de gendarmes se sont aussi rendus sur place.
Les engins ont tout de même du rebrousser chemin.