La garde à vue a été levée ce vendredi pour les trois manifestants, mais ils seront convoqués dans la semaine au commissariat pour la poursuite de l'enquête.
Ils devront éclaircir leurs versions des faits et permettre la définition précise de leur chef d'inculpation : entre « violences sur dépositaires de l'autorité publique » ou « rébellion ».