Un homme est accusé de vol à l’étalage à cause de son sexe !

Ce vitrier anglais de 46 ans a vécu une drôle de mésaventure en passant à la caisse après une petite séance de shopping.


Après une bonne séance de shopping à Scotts Menswear, Steve, accompagné de sa petite amie Mandy ainsi que de son fils, s'est rendu à la caisse pour payer ses achats. Alors que la note s'élevait à 400 livres (450 euros), la directrice du magasin l'a soupçonné de voler quelque chose et l'a questionné sur la bosse dans son pantalon.

Sans gène et de manière très honnête, le père de famille lui explique que c'est une forme naturelle comme il l'a expliqué à The Sun : "Il y avait un renflement, oui, mais ce n'est pas illégal. C'est comme ça que je suis fait". Malheureusement pour lui, la responsable n'a pas cru ses explications et restait persuadée que Steve cachait quelque chose dans son pantalon.




Au cours des minutes, le ton est monté et la directrice a commencé à se montrer agressive : “La responsable a commencé à m'agresser. Elle ne voulait pas me laisser partir. Je n'arrêtais pas de lui dire que c'était mon pénis”. Face à l'insistance de la femme, Steve décida de baisser son pantalon pour donner tort à son accusation: ”Finalement, j'ai laissé tomber mon pantalon devant tout le monde et j'ai montré mon caleçon en disant que je n'avais rien à cacher”.

Visiblement pas convaincue, la directrice a continué en demandant : “C'est quoi cette bosse ?”. Plus ou moins forcé, Steve a dû se rendre dans une cabine d'essayage avec un agent de sécurité pour prouver qu'il s'agissait bien de son pénis et pas d'un article volé. Suite à cet épisode, la petite amie de Steven était sidérée par ce que lui ont demandé les gérants du magasin : “C'était si humiliant. Ce qu'ils ont fait à Steve était dégoûtant”.

Le couple a même porté plainte après cet épisode. Cependant, un porte-parole de la chaîne de magasins JD Sport a défendu ses employés en démentant les propos de Steve: “Le client en question affichait un comportement suspect et, lorsque le gérant du magasin l'a confronté, il est devenu injurieux. À aucun moment, un collègue n'a demandé au client d'enlever ses vêtements”.