Nabilla l'a affirmé sur les réseaux sociaux : "on avait un contrat qui était entre l'agence et moi. Une des femmes qui travaille dans l'appartement nous a dit qu'il appartenait à des personnes qui ne souhaitent pas du tout louer, en assurant qu'elle avait dû verser une certaine somme d'argent pour l'appartement en question, alors qu'elle n'y avait jamais mis les pieds".
Les choses ne se seraient pas passées comme le laisse entendre Nabilla
Olivier Tomas, le fondateur de l'agence The Adress, mis en cause, a été contacté par TV Mag et a voulu éclaircir la situation :
"J'étais en contact avec leur assistant avec qui cela se passait bien", explique-t-il au magazine, et ajoute : "j'ai donc pris contact avec un agent immobilier qui m'a proposé un appartement qui a plu à l'assistant de Nabilla et à Nabilla elle-même. Nous avons procédé à sa réservation auprès du propriétaire".
Mais le propriétaire s'est ensuite rétracté et n'a pas finalement souhaité louer son logement.
À la suite de cela, Olivier Tomas a proposé un autre logement, mais n'aurait jamais eu de retours de la part du couple. Il aurait en revanche reçu "un message téléphonique, avec photos à l'appui, du mari de Nabilla, avec des menaces de mort contre moi, mes collaborateurs et mes enfants". Il a également été contacté par l'avocate du couple, qui a réclamé un remboursement et des dommages et intérêts.
L'agent immobilier a décidé de porter plainte contre eux : "pour le moment, Nabilla n'a pas été remboursée de son versement et ne le sera pas, tant que nous n'aurons pas un accord écrit et signé. Je n'ai évidemment aucun souci pour lui rendre cet argent, mais je ne suis pas d'accord pour lui verser 20.000 euros en plus. Je souhaite également qu'elle fasse un correctif sur ses réseaux sociaux".