Durant l'échange, la Québécoise a révélé certaines tensions avec France Télévisions : "On m'a demandé d'y participer en septembre. L'Eurovision, c'est en mai, donc de septembre à mai, ce que je n'avais pas compris, c'est que j'allais être l'esclave de France Télévisions".
Une mauvaise expérience pour la jeune femme, qui a avoué avoir tenté de rompre son contrat :
“Quand j'ai compris qu'on m'avait menti, qu'il y avait comme une manipulation autour de ça, j'ai appelé ma maison de disques. Je leur ai dit que je ne pouvais pas continuer à travailler avec eux, ils vont me tuer.”
De son côté, la société d'audiovisuel France Télévisions ne semble pas non plus avoir gardé un bon souvenir de cette collaboration.
“Nous sommes évidemment déçus par le résultat de cette année et par l'attitude qu'a eu La Zarra après avoir passé plusieurs mois à la soutenir et à la promouvoir”, a déclaré Stéphane Sitbon-Gomez, directeur des antennes et des programmes.
Une prestation pas comme les autres
C'est une performance qui restera dans les annales, mais pas pour les bonnes raisons. La Zarra avait notamment obtenu l'un des plus mauvais scores de la France dans le concours en arrivant à la 16e place.
Ce n'est pas tout puisque la Québécoise s'était surtout fait remarquer pour son attitude de diva et pour un geste déplacé retransmit en direct à l'antenne.
En souhaitant à Slimane, qui portera à son tour les couleurs de la France cette année, une participation beaucoup plus sereine.
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