Des conditions sanitaires qui auraient pu entraîner des intoxications. En tout, le gérant, qui est aussi élu d'opposition à la mairie, employait une vingtaine de salariés.
Il devra réaliser une quarantaine de modifications pour pouvoir rouvrir sa boutique.
Contacté par Le Progrès, il a indiqué avoir déjà reçu un contrôle de l'URSSAF il y a peu et à envisager de ne jamais rouvrir.