Accusé d'avoir vendu des opioïdes et des psychotropes sans ou avec de fausses ordonnances, avant de se faire rembourser par la sécurité sociale, il aurait aussi tapé dans la caisse de la pharmacie.
Des vacances payées avec la carte de l'entreprise
Avec cet argent, selon Le Progrès, il en aurait profité pour emmener sa famille en vacances au ski, en croisière ou encore acheter de la maroquinerie.
Durant l'audience, il a reconnu une partie des faits et a expliqué avoir eu besoin d'argent.
La décision du tribunal sera rendue en novembre.