Ils avaient été accusés de vouloir commettre un attentat, le premier jour des Gilets jaunes en 2018.
Le ministre de l'Intérieur de l'époque, Christophe Castaner, s'était même félicité d'avoir évité un bain de sang.
Mais au cours de l'enquête, la dimension terroriste s'est effacée, au profit d'un projet de braquage encore mal défini.
Les trois Stéphanois, et un quatrième individu âgé de 27 ans risquent jusqu'à 10 ans de prison.