Cet instituteur était accusé d'abus sexuels et de viols commis pendant des années sur des dizaines d'enfants lors "d'ateliers du goût" organisés dans sa salle de classe, en Isère et dans le Rhône.
D'après Le Dauphiné Libéré la justice a rendu une ordonnance de non-lieu.
En cause : l'extinction de l'action publique.
L'avocat d'une des victimes va faire appel de cette décision.
L'enseignant s'était suicidé dans sa cellule de la prison de Lyon-Corbas en 2016.
La suite de l'enquête avait permis de découvrir, chez lui, 500 000 photos et 11 000 vidéos pédopornographiques.
46 nouvelles victimes supposées avaient pu être identifiées.
Les charges ont été jugées insuffisantes pour 30 autres plaignants.