Des buvards avaient déjà été posés dans les rivières afin de stopper la propagation du produit. La pêche avait également été interdite et les habitants n'ont pas pu arroser leurs jardins.
Une usine pointée du doigt
D'après Le Progrès, les regards se sont tournés vers une usine désaffectée non loin de la rivière du Biot. D'après les premières hypothèses, un transformateur aurait été débranché et le pyralène se serait alors déversé.
Il pourrait donc s'agir d'un accident.