En première instance, il avait été condamné à un mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Saint-Étienne, le 14 février dernier.
Les faits remontent à 2016, lors d'un voyage en Turquie qui réunissait les délégations de la Loire et du Puy-de-Dôme, dans le cadre d'un voyage pour l'inscription de l'œuvre du Corbusier au patrimoine mondial de l'UNESCO.
Marc Petit a toujours nié les faits. Malgré sa condamnation, il avait décidé de ne pas démissionner de son poste de maire de Firminy.