Bien que la procureure ait requis 500 euros d'amende pour "vol en réunion", ils ont finalement été relaxés. Un jugement historique, la justice ayant mis en avant "l'état de nécessité".
Pour Fanny et Pierre, il s'agissait d'un acte symbolique et non-violent pour dénoncer l'inaction de l'Etat face aux changements climatiques.