À l'initiative de cet événement, l'association Primevère est accusée par Ludovic Hernandez, élu d'opposition lyonnais, de promouvoir des disciplines ésotériques, voire même sectaires.
Le conseiller municipal a ainsi saisi le ministère de la Santé et la Miviludes (l'observatoire des dérives sectaires). Il réclame aussi que plusieurs participants du salon soient exclus.
L'association regrette une "instrumentalisation"
Selon Le Progrès, l'association Primevère a pris la parole dans un communiqué : "L'association Primevère se positionne très clairement contre les mouvements sectaires, xénophobes, militaristes et d'embrigadement. Elle reste bien sûr à la disposition de la Miviludes, des services de l'État et des pouvoirs publics."
L'association indique également qu'elle regrette "l'instrumentalisation que Monsieur Ludovic Hernandez fait de notre salon".
De son côté, la Miviludes a réagi par l'intermédiaire de son compte Twitter, indiquant qu'elle avait été saisie d'une demande d'information concernant le salon Primevère. L'observatoire invite ensuite "à la plus grande vigilance à l'égard d'offres pseudo-thérapeutiques".