D'après l'AFP, il est brûlé à 90% et se trouve entre la vie et la mort au Centre des brûlés à l'hôpital Edouard Herriot. Avant de passer à l'acte, il a prévenu sa petite amie par SMS.
La ministre de l'Enseignement supérieur à Lyon
Dans un message publié sur les réseaux sociaux, le jeune homme avait évoqué des difficultés financières et justifié son geste par des revendications politiques, en accusant notamment Emmanuel Macron, François Hollande ou Nicolas Sarkozy de l'avoir "tué".
La ministre de l'Enseignement supérieur Frédérique Vidal s'est rendue ce samedi matin à Lyon pour rencontrer notamment la présidente de l'université et lui faire "part de sa profonde émotion face à l'acte dramatique" du jeune homme, "auquel elle a adressé ses premières pensées", selon le ministère.