Une décision justifiée par le risque de trouble à l'ordre public aux abords de la conférence, mais aussi d'atteintes aux principes républicains.
Fabienne Buccio, préfète du Rhône, et Grégory Doucet, maire de Lyon, ont enfin dénoncé les propos "anti-juifs" ou contre la défense des droits des femmes du prédicateur rigoriste. Des propos qualifiés de "contraires aux valeurs de la République".