La mère, dépressive à cette époque, a été jugée ce mardi 31 mai à Lyon. Elle a nié les faits lors de l'audience et a assuré n'avoir jamais violenté ses enfants. La première fracture aurait été provoquée par une chute du canapé, selon ses dires. Elle aurait tiré trop fort sur le body la seconde fois.
Interdiction d'exercer avec des mineurs
Le tribunal a condamné la mise en cause à deux ans de prison avec sursis, selon Le Progrès. Elle a également reçu l'interdiction d'exercer une activité avec des mineurs.
L'enfant a été placé chez la sœur de l'accusée le temps de la procédure.