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Loire : la nouvelle polémique autour du fondateur de SNF

Vendredi 10 Avril - 07:42

Actualité


Médecin en blouse
En début de semaine, René Pich a été placé en garde à vue quelques heures, suspecté de proposer de la chloroquine à ses salariés pouvant être atteints du coronavirus. Cette fois, il s'attaque à une partie de son personnel.


Semaine agitée du côté du groupe chimique SNF à Andrézieux-Bouthéon, dans la Loire.

Mardi, le fondateur de l'entreprise, également directeur général délégué de SNF, a été entendu par les gendarmes de Montbrison dans le cadre dans le cadre d'une enquête pour "exercice illégal de la pharmacie et de la médecine", ouverte par le parquet de Saint-Etienne.

Le lendemain même, il se serait attaqué directement à ses employés, selon Le Progrès. Une note interne signée de sa main a été envoyée mercredi aux cadres de la société.

Dans ce mail, René Pich attaque, toujours d'après le quotidien, "ceux qui se font faire des certificats d'arrêt de travail de complaisance conseillés par certains syndicats" pendant la période de confinement, tout en remerciant "cette majorité d'employés qui viennent travailler tous les jours, ou travaillent en télétravail ou sont en chômage partiel car ils ne peuvent pas voyager".

La CFDT dénonce "la pression maintenue de plus belle sur les syndicats" et "le sentiment d'impunité de cet employeur".

Le syndicat demande au PDG de SNF d'intervenir.

►Santé

Loire : en garde à vue pour avoir proposé de la chloroquine à ses salariés

Le fondateur du groupe de chimie SNF, à Andrézieux-Bouthéon...