L'association Tonga Terre d'Accueil rappelle les conditions dans lesquelles Jon est arrivé en juin 2020 à Saint-Martin-la-Plaine (Loire). Les quatre autres lionnes, recueillies le mois suivant, "s'en sortaient à peine mieux".
Les lionnes survivantes sont désormais en Italie
Après avoir contesté une première ordonnance, leur ancien propriétaire, patron et dresseur d'un cirque parisien, a été de nouveau condamné, ce lundi. Il a écopé de deux mois de prison avec sursis et cinq ans d'interdiction d'exercer une activité en contact avec les animaux. Il devra également verser près de 200.000 euros à l'association One Voice.
C'est elle qui a initié ce combat judiciaire. Elle a obtenu la confiscation des lionnes survivantes. "Jon nous a malheureusement quitté en 2022, mais les lionnes vivent aujourd'hui leur meilleure vie dans un sanctuaire en Italie", précise Tonga Terre d'Accueil.