On n'en est pas du tout là évidemment, mais une étudepubliée il y a quelques semaines par l'Inrae et VetAgro Sup sème le doute.
Selon les chercheurs, le changement climatique en moyenne montagne pourrait modifier le type d'alimentation des vaches, et donc par conséquent, la composition et le goût du fromage. Dans le viseur en Auvergne, le Saint-Nectaire, le Cantal, et la Fourme d'Ambert.
Pas d'inquiétude pour la Fourme d'Ambert
Du côté des professionnels du secteur, l'inquiétude n'est pas de mise.
Aurélien Vorger est le directeur du syndicat interprofessionnel de la Fourme d'Ambert.
Le secteur, en tout cas, se porte très bien : en 2024, 5.465 tonnes de Fourme d'Ambert ont été vendues dans le monde.