Son avocat réclamait 35.000 euros en réparation des préjudices pour elle et 30.000 euros en réparation des préjudices subis par son fils.
Finalement, dans son jugement du 26 septembre, la justice a reconnu « une faute de l'État », et a souligné les "insuffisances du plan de protection de l'atmosphère de l'agglomération lyonnaise". En revanche, l'Etat n'a pas été condamné à verser des réparations aux victimes. Le lien entre les pics de pollution et les problèmes de santé de l'enfant n'ayant pas été prouvé.