Près de huit ans après les faits, Le Figaroannonce que l'État vient d'être condamné en appel pour sa responsabilité dans ce drame.
Un jugement rendu le 1er octobre par la cour d'appel du tribunal de grande instance de Paris. L'État est donc condamné à verser 200.000 euros de dommages et intérêts à la famille d'Agnès Marin.
En revanche, la "faute lourde" n'a pas été retenu, contrairement au jugement précédent. En première instance, en 2017, l'État avait été condamné pour "négligences fautives assimilables à une faute lourde" pour avoir placé l'agresseur dans ce collège mixte sans suivi approprié en dépit de ses antécédents.
Ce dernier a depuis été condamné à la prison à perpétuité.