Le maire estime que la question sera au cœur des débats des municipales de 2026. Il souhaite que les Clermontois indiquent "leur attente et leur volonté à travers l'élection et un référendum si nécessaire", a-t-il poursuivi.
Comment financer la mesure ?
Une telle mesure représenterait un trou de 15 millions d'euros dans les caisses de la collectivité. Une perte qui pourrait par exemple être comblée par une hausse des impôts. Olivier Bianchi a précisé que, pour l'heure, toutes les pistes restaient envisagées.
Pour autant, financer la gratuité des transports en commun aura un impact sur les autres projets.
"Nous aurons aussi des aménagements à construire, notamment refaire la ligne A du tramway. Il faut savoir où l'on porte l'effort d'investissement de la métropole", a déclaré l'élu.
Pour rappel, les bus et les trams clermontois sont déjà gratuits le week-end. Une mesure testée, puis prolongée par la Ville il y a un an.