Selon une source syndicale, le plan prévoit la suppression de 753 postes en France, dont "618 postes dans la branche Grid, supprimés sur les sites Villeurbanne, Aix, Saint-Priest et Montpellier", et "135 postes dans la branche Hydro, supprimés sur les sites de Belfort et Boulogne-Billancourt".
"À Belfort, les 89 emplois de la filière Hydro vont être supprimés, c'est un manque à la parole donnée et une menace pour le savoir-faire industriel français et belfortain", s'est insurgé le maire de Belfort dans un communiqué, en appelant au président de la République.
"Nous partagerons très prochainement des informations complémentaires avec nos représentants du personnel et nos salariés, conformément aux processus d'information-consultation européen et nationaux", a promis le géant américain.
GE n'a pas non plus précisé s'il s'agissait d'un désengagement partiel de ces activités ou si une relocalisation était prévue, dans l'attente du processus d'information-consultation.
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