Lui et trois complices avaient agressé un riverain avec de faux brassards de police et des douanes, avant de le séquestrer avec des câbles électriques et de tirer à la kalachnikov en pleine rue, sans faire de blessés.
À la barre, l'accusé a refusé de dévoiler le nom de ses commanditaires, qui seraient originaires de Lyon.
D'après Le Progrès, il a simplement expliqué avoir été contacté pour accomplir cette mission et toucher 8 000 euros.