Il aurait avoué les meurtres à sa mère
Selon Le Progrès, la sœur du forcené aurait appelé sa mère dans la nuit du 18 au 19 juillet. Elles ne se seraient pas parlé, mais la mère aurait entendu des éclats de voix. Elle tente de rappeler sa fille et son fils, en vain.
Ce n'est que le 19 juillet au soir que son fils la rappelle. Il lui aurait avoué les meurtres de toute la famille, et aurait même envoyé une photo. Il aurait ensuite contacté les gendarmes pour se dénoncer et dire qu'il les attendait. Il aurait ensuite coupé toute conversation.
Il est abattu le 20 juillet par le GIGN. Selon toute vraisemblance, il serait donc resté toute une journée en présence des corps de ses victimes.
Des problèmes psychiatriques ?
Pour l'instant, le parquet de Bourg-en-Bresse n'a pas confirmé que le forcené souffrait de problèmes psychiatriques, les enquêteurs n'avaient pas encore eu accès à son dossier médical. Mais, toujours selon Le Progrès, lorsqu'il était adolescent, le jeune homme aurait été vu par des médecins qui lui auraient prescrit un traitement pour des troubles psychiques. Les analyses toxicologiques permettront de savoir s'il le suivait toujours ou non.
Le quotidien local révèle aussi qu'il aurait déjà fait preuve de violences, allant jusqu'à menacer sa mère avec un couteau. Il aurait aussi "entendu des voix".
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