Ce dimanche 31 mars, le procureur de la République d'Aix-en-Provence a également révélé que des analyses d'identifications génétiques ont permis de conclure qu'il s'agissait bien des ossements du petit Émile.
Des moyens supplémentaires prochainement déployés
L'Institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale de Pontoise (banlieue parisienne) poursuit les analyses sur les ossements. Les gendarmes doivent aussi mener des recherches complémentaires sur la zone géographique concernée.
Aucun élément n'a été donné sur la cause du décès de l'enfant.
Cette découverte d'ossements se présente comme une étape importante dans l'enquête sur la disparition du petit Émile.
La thèse de la chute mortelle s'était éloignée à la suite des multiples battues infructueuses organisées dans les environs du hameau.