Deux repreneurs qui ont été désignés sur deux volets différents : Cegelec Defense pour la partie ingénierie et TTH pour la partie maintenance ferroviaire. Le choix des salariés a donc été suivi par le tribunal.
"Je voyais mal le tribunal aller à l'encontre du choix des salariés", confie Maître Borie, l'avocat des salariés. "Le choix avait été fait de manière structurée, analysée... non pas simplement en termes de nombre d'emplois supprimés mais surtout en termes de pérennité de l'entreprise, de perspective d'activités, il y avait pour nous pas photo", conclut-il.
De son côté, Anthony Vedeau, délégué CGT, se dit "rassuré". "Je pense que cette fois-ci c'est la bonne, on a sauvé définitivement les ACC", déclare-t-il.
Mais tout n'est pas terminé. Au total, 47 emplois seront supprimés dans le pôle ferroviaire. "On a un certain nombre de volontaire mais il y a encore un peu de chemin à faire pour que ça se passe sans douleur", avoue le syndicaliste.
Les réactions n'ont pas manqué de se succéder sur les réseaux sociaux :