En avril 2016, le chauffeur de bus - en poste à la T2C depuis 12 ans - avait reçu un courrier l'informant de la fin de son CDI. En cause ? Le salarié refusait de serrer la main de ses collègues féminines.
Pour sa défense, le conducteur de la T2C a indiqué que le contact avec les femmes le mettait mal à l'aise, toujours selon le quotidien régional.
Après avoir récolté les témoignages de nombreux collègues de la T2C, la juridiction a rendu sa décision et estimé qu'il s'agissait d'un licenciement abusif.
L'entreprise devra verser une indemnité de 27.000 euros à son ex-employé.