L'ANSES cherche plusieurs dizaines de volontaires dans l'Ain, l'Isère et le Rhône. L'étude sera ensuite lancée dans le Puy-de-Dôme et la Loire notamment.
Après une première phase d'étude sur des personnes électrohypersensibles menée en
Bretagne, l'ANSES étend sa zone de recherche à la région Auvergne-Rhône-Alpes.
Dans l'Ain, l'Isère et le Rhône, l'Agence nationale de sécurité sanitaire est à la recherche d'une trentaine de volontaires, tous concernés par cette pathologie et suivis par des centres hospitaliers, dans chaque département.
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Pour chaque volontaire, la nouveauté de cette grande étude est d'aller directement à sa rencontre, chez lui, dans son environnement, explique Olivier Merckel, membre de l'ANSES.
Souvent, les volontaires viennent dans les laboratoires de recherche, en ville et forcément, cela pouvait être compliqué pour eux vis-à-vis de leur pathologie".
Une série de trois entretiens sera menée : le premier portera sur le
vécu du patient et sur l'adaptation de son mode de vie, le second sur les
symptômes ressentis et, enfin, le dernier entretien sera un
rendez-vous avec un médecin, toujours à domicile. Ce dernier permettra de vérifier si les symptômes ne sont pas liés à une autre pathologie ou maladie.
Si vous souhaitez vous porter volontaire pour cette étude sur l'électrohypersensibilité, contacter l'équipe de SEPIA-Santé, un des deux bureaux d'étude qui mènent l'enquête pour le compte de l'ANSES :
ehs.sepia@gmail.com ou au 07 88 49 70 73.