L'enquête "vient d'être ordonnée par le parquet", a indiqué ce dernier expliquant ne pas pouvoir communiquer d'autres éléments à ce stade. Les investigations "devraient permettre de déterminer si les faits sont avérés".
Les femmes représentent aujourd'hui environ 20% des effectifs de la gendarmerie où elles n'étaient pas acceptées avant les années 1970. Jusqu'en 1982, elles faisaient uniquement partie du personnel administratif.
Marlène Schiappa a réagi
"Les femmes engagées dans les forces de l'ordre doivent pouvoir exercer leur mission sans ce harcèlement sexuel inadmissible ! J'en suis garante", a réagi dans un tweet la ministre déléguée à la Citoyenneté Marlène Schiappa.
"La gendarmerie de l'Ain a pris ses responsabilités, la lumière est en train d'être faite #NeRienLaisserPasser", ajoute l'ancienne secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes.