Les faits ressurgissent aujourd'hui. Nommé en 2015 au Pôle France de Saint-Étienne, Jean-François Rascle vit son moment le plus difficile. "Évidemment que ça a secoué beaucoup le club. Ça jette un coup de projecteurs plutôt négatif sur la gym, après je pense qu'il faut que ces jeunes femmes s'expriment", déclare-t-il.
Garantir le bien-être des gymnastes
Aujourd'hui, il n'y a plus d'entraineur bénévole au sein du Pôle France. "J'ai huit professionnels de la gymnastique, qui sont cadres d'État pour certains. Aujourd'hui, on est structuré pour garantir le bien-être de nos filles", martèle le président Jean-François Rascle.
Une discussion a eu lieu ce mercredi 3 février avec les jeunes gymnastes pour évoquer ce sujet, afin de crever l'abcès car certaines d'entre elles sont en pleine préparation pour les JO prévus cet été à Tokyo.