Selon La Montagne, le bovin était à moitié dévoré et emballé dans un sac. Après discussion avec la police, l'éleveur n'a pas rencontré la sous-préfète, mais a demandé des réponses rapides concernant la protection de ses bêtes.
Ce dernier a aussi reçu la visite d'un louvetier et de l'Office Français de la biodiversité samedi dernier. Une réponse dans huit jours lui a été promise. Il pourrait s'agir d'une attaque de loup.