300 nouveaux oiseaux à découvrir
Des becs ouverts qui ne mangent que des escargots, des ombrettes qui fabriquent des nids de plus de 100 kilos mais aussi des serpentaires, des messagers sagittaires, des pigeons de Madagascar, des grues caronculées ou encore des autruches... Voilà quelques unes des 41 nouvelles espèces qui s'installent au Parc des oiseaux.
Tous sont d'origine africaine, l'idée étant de reconstituer la diversité de la faune de ce continent. Mais tous sont nés en captivité dans différents parcs d'Europe. Il s'agit aussi de mettre en place des programmes de reproduction pour certaines espèces vulnérables.
Cette zone sera divisée en plusieurs parties, avec une île inspirée des espaces sauvages de Madagascar, un canyon, une grande volière de 3 000 mètres carrés, des tunnels, une prairie humide, des cascades, ou encore une savane.
Bientôt une zone de l'extrême !
En 2020, un autre site verra le jour au Parc des oiseaux pour son cinquantième anniversaire : "les oiseaux de l'extrême". Les visiteurs seront plongés dans les conditions atmosphériques extrêmes auxquelles les oiseaux doivent s'adapter comme le grand froid, les zones désertiques, les hautes altitudes ou tout simplement la nuit.
Dès cette année, le Parc aimerait franchir la barre des 300 000 spectateurs.