C'est la décision du tribunal administratif, saisi par les deux filles de la victime, aujourd'hui décédée.
Aucun suspect interpellé
La justice reproche un accès complètement libre à la maison de retraite, sans aucun contrôle pour connaître l'identité des visiteurs.
Les faits remontent au 7 avril 2013. La victime avait été retrouvée le visage tuméfiée dans les toilettes du rez-de-chaussée de la maison de retraite.
Aucun suspect n'a jamais été interpellé.
La direction va faire appel selon Le Progrès.