Menaces de mort
C'était déjà le cas ce mercredi, après des dégradations commises la nuit précédente, tout près de là où un étudiant stéphanois de 22 ans s'était immolé par le feu le 8 novembre dernier.
Les vitres du service d'accueil ont été brisées, avec aussi des tags menaçant de mort les responsables du Crous.
D'après Le Progrès, l'attaque a été revendiquée sur Internet par des personnes qui se présentent comme des étudiants en lutte contre la précarité. Ils menacent d'autres actions de ce type.