D'après le parquet de Lyon, le suspect n'est pas connu des services spécialisés pour radicalisation. Mais il aurait fait un séjour à l'hôpital psychiatrique en 2016.
"Des voix l'incitant à commettre un crime"
Le parquet précise dans un communqiué : "il indique avoir agi par désespoir tout en expliquant avoir entendu des voix l'incitant à commettre un crime".
L'auteur des faits a fait l'objet d'un examen psychiatrique, et a été finalement hospitalisé sous contrainte en milieu psychiatrique car "son état de santé a été jugé incompatible avec la poursuite de la mesure de garde-à-vue", a affirmé le parquet.