"Souvent, ce sont des pilotes amateurs qui ne connaissent pas bien la réglementation. On essaie de faire de la pédagogie, mais cet été plusieurs drones ont été saisis", assure-t-on à la gendarmerie qui en appelle "au bon sens".
Jusqu'à 75.000 euros d'amende
Il est interdit de survoler les maisons, les jardins et même l'espace public en ville. Même chose pour les prisons, les terrains militaires ou encore les réserves naturelles.
Une fois saisi, le drone peut être confisqué. Les pilotes qui enfreignent la loi risquent plusieurs mois de prison et jusqu'à 75.000 euros d'amende. C'est ensuite au tribunal de décider si le propriétaire peut récupérer son appareil volant.
Dans la région, les gendarmes sont attentifs à d'autres usages du drone, comme leur utilisation à des fins de repérage avant de commettre un cambriolage.