SÉLECTIONNEZ VOTRE VILLE

Rhône
  • Lyon
  • Tarare
Loire / Haute-Loire
  • Saint-Étienne
  • Roanne
  • Le-Puy-en-Velay
  • Yssingeaux
Puy de Dôme / Allier
  • Clermont-Ferrand
  • Vichy
Ain / Saône-et-Loire
  • Bourg-en-Bresse
  • Mâcon
  • Valserhône
Ardèche
  • Aubenas
Isère / Savoie
  • Vienne
  • Grenoble
  • Chambery
  • Annecy

Cliquer pour télécharger
l'application Radio Scoop

AIN : LA SÉCHERESSE CONTINUE EN DOMBES, MALGRÉ LA PLUIE CET HIVER

Mercredi 31 Mars - 18:30

Actualité


L'étang du Grand Romans, dans la Dombes - © http://lecerclecondorcetdebourgenbresse.blogspot.fr.JPG
Malgré les pluies de cet hiver, la sécheresse continue de frapper le secteur de Dombes, dans l'Ain. La préfète a décidé de placé le bassin de gestion eaux souterraines "Dombes-Certines" en alerte.


La nappe phréatique "Dombes-Certines" a atteint ses niveaux les plus bas de son histoire, malgré une fréquence de pluies supérieure à la moyenne cet hiver. Le secteur de Dombes dans le département de l'Ain subit donc toujours une sécheresse. Le bassin de gestion eaux souterraines "Dombes-Certines" a donc été placé en alerte.



Cette alerte signifie que sur le secteur de Dombes, le lavage des voitures est interdit, ainsi que la vidange et le remplissage des piscines, le lavage des façades. L'arrosage des jardins potagers, des pelouses, des golfs et des stades est interdit de 9 heures à 21 heures.

La liste complète est à retrouver sur le site de la préfecture de l'Ain.

Des mois très secs et très arrosés


La pluviométrie de cet automne et cet hiver a été "légèrement supérieure à la moyenne sur le département", selon la préfecture, notant tout de même une différence entre des mois très arrosés -octobre, décembre, janvier- et des mois très secs -novembre et février.

Ces pluies ont permis de recharger les sillons du Pays de Gex ou la nappe alluviale de la plaine de l'Ain mais pas la nappe "Dombes-Certines", "plus profonde et protégée par une couverture argileuse", dont la recharge est donc plus lente.

"Pour la partie sud de la nappe, les niveaux continuent de baisser depuis 2015 et se situent, à ce jour, à un niveau historiquement bas", précise la préfecture.