Elle l'accuse d'avoir cherché à lui imposer une fellation en 2010, alors qu'il organisait une soirée chez lui. Le député de l'Ain dément ces accusations.
"La présomption d'innocence s'applique à lui comme à chaque citoyen français", avait expliqué le groupe jeudi soir.
Lors de la réunion de mardi, il a été acté que le député ne prendrait plus la parole au nom du groupe Renaissance, à l'Assemblée nationale comme dans les médias.