Selon Le Progrès, l'élu ligérien a remis sa lettre au Préfet, qui a deux mois pour l'accepter. Une décision qui fait suite à son placement en garde à vue une semaine plus tôt après son interpellation pour conduite en état d'ivresse, outrage et rébellion.
Il sera jugé pour ces faits, dont certains en récidive, au mois de novembre prochain.
En attendant de nouvelles élections, c'est un adjoint ou un conseiller municipal qui prendra la tête de la commune.