La jeune femme âgée de 20 ans s'est fait délivrer des médicaments anti-cancéreux entre novembre 2019 et octobre 2020, à l'aide de fausse ordonnances. Les prescriptions étant onéreuses, le préjudice pour la CPAM s'élève à 11.942 euros.
Elle a reconnu les faits
C'est sur un réseau social que la Stéphanoise allait chercher ces fausses ordonnances. Elle récupérait les médicaments pour les remettre à une personne, encore non-identifiée à ce stade de l'enquête.
Auditionnée par les enquêteurs de la Brigade de la Délinquance Astucieuse, elle a reconnu les faits, tout en indiquant avoir reçu 1.500 euros pour sa participation à l'escroquerie.
Elle sera jugée au Tribunal Judiciaire de Lyon en vue d'une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité en mars prochain. Elle a été remise en liberté en attendant le procès.