D'après Le Progrès, l'ouvrage, emprunté chaque jour par 100.000 véhicules, serait en péril.
Le pont, qui date de 1972, est classé "3US", ce qui signifie concrètement qu'il a besoin de travaux d'urgence, dans la mesure où un risque existe "pour la sécurité des usagers".
Surveillance, déviations, consolidation
La métropole de Lyon a pris la mesure du problème.
D'après le quotidien lyonnais, elle compte financer une surveillance du pont, grâce à des capteurs supplémentaires, reliés à un bureau d'études.
Des déviations sont aussi à l'étude. Les travaux préparatoires ont été lancés.
Les élus veulent, aussi, solidifier l'ouvrage (à hauteur de 500 000 €) dans l'attente de sa réparation ou de sa démolition, prévues, au mieux "au deuxième semestre 2022".