Dans cette missive, ils ont tous deux déploré la décision du groupe automobile, prise "sans qu'aucun échange préalable n'ait été établi avec les services de l'État et la municipalité."
Les problèmes d'insécurité
Lors de l'annonce de la fermeture du site, la direction avait expliqué, dans une interview accordée au Progrès, que cette décision était liée à un manque de rentabilité, dû notamment à la présence "d'une zone de trafic et de non-droit" sur la partie est du site.
La municipalité et le Préfet ont souligné "qu'aucune alerte en ce sens n'a été adressée, ni à la police, ni à la Police Nationale". Ils ont également demandé à ce qu'une rencontre soit organisée avec le groupe, et ont condamné "la facilité intellectuelle consistant à stigmatiser la commune et ses habitants pour justifier cette décision".