Ils et elles avaient entamé son démantèlement symbolique en février 2020, dans le cadre d'une action de désobéissance civile non-violente pour dénoncer les risques liés au vieillissement du parc nucléaire français.
L'avocat de la défense plaidera la relaxe au nom de l'état de nécessité et de la liberté d'expression.
Un rassemblement citoyen de soutien aura lieu devant le tribunal dès 7h30.